
Mon amie de cœur m’a offert deux livres de Rûmî et c’est un vrai bonheur.
C’est poétique, ça parle au cœur, c’est profond et ça nourrit notre âme car ça nous parle.
Il a une façon de parler de Dieu (du Divin, de la Source créatrice, …) qui résonne en moi. Cela m’appelle, c’est beau comme un tableau, comme une musique, …
Pour ma part, je les ai lu doucement afin de les savourer.
Voici les livres :
Le Livre du Dedans (extrait d’amazon), c’est-à-dire de l’intériorité la plus secrète, est le principal traité en prose du grand poète mystique Rûmî. En abordant des thèmes aussi divers que la nature de l’homme, la recherche mystique, la connaissance, l’amour, le mal ou la souffrance, son enseignement vise à accompagner celui qui s’interroge dans la découverte de sa pleine stature spirituelle, vers le sens profond des choses. Nourrie de méditation et de rêveries, la parole du Maître, enchâssant versets coraniques et propos du Prophète, fables et paraboles, éveille l’âme endormie du disciple.
Rubâi’Yât, recueille de poèmes à lire et relire
(Extrait google livre)
Djalâl-od-Dîn Rûmî que le monde de l’Islam désigne, par respect, comme « notre maître » (Mawlânâ, Mevlana en turc) n’est pas seulement l’un des plus grands penseurs mystiques de tous les temps, un voyant qui (au Xllle siècle !) parlait de la fission de l’atome et de la pluralité des systèmes solaires, c’est aussi l’un des plus merveilleux poètes de la littérature universelle, fondateur de l’ordre des derviches tourneurs.
La mise de l’homme au diapason du cosmos, l’oratorio spirituel des derviches qui symbolise la ronde des planètes autour du soleil et, à un second niveau, la recherche du Soi, sont lnguement célébrés dans les Rubâi’yât : comme les atomes, le soufi danse, et la musique ne fait que « réveiller les mystères du coeur ».